Les formalités administratives pour s’expatrier au Japon
Pour s’installer au Japon pour plus de trois mois, il est obligatoire d’avoir un visa et un passeport en cours de validité. Pour travailler au Japon, il existe 27 statuts de résidence différents (universitaire, artiste, religieux, journaliste, cadre-dirigeant d’entreprise, étudiant, élève, stagiaire…) qui permettent d’exercer un emploi sur le sol japonais. La demande de visa auprès d’un poste consulaire japonais comprend l’obtention préalable d’un certificat d’admissibilité, une procédure qui peut prendre jusqu’à 6 mois. Attention, une fois le visa obtenu, la sortie du territoire est soumise à une autorisation spéciale, dite « permis de retour » (Re-entry permit), délivrée au Japon par les services de l’immigration.
Le visa de travail ou « Working visa » s’adresse principalement à une main-d’œuvre hautement qualifiée et est valable pour une durée de 6 à 12 mois, voire 3 ans au maximum pour un dirigeant ou un cadre d’entreprise. Le visa est le titre d’entrée sur le territoire. Il est délivré par les autorités consulaires japonaises et se matérialise par l’apposition d’une vignette sur le passeport. Si vous envisagez de vous expatrier au Japon, sachez que le statut de résidence est le titre de séjour au Japon. Délivré pour une durée précise (six mois, un an, trois ans), il détermine les activités que son titulaire est autorisé à exercer. Pour en savoir plus : www.fr.emb-japan.go.jp/
Plusieurs programmes permettent aux aspirants immigrants de se familiariser avec la culture japonaise.