Que ce soit en duo avec Marc Anthony pour la Bande Originale du Masque de Zorro, en Esmeralda dans la version londonienne de Notre Dame de Paris ou dans ses incontournables hits comme « Aller plus haut » ou « Aimer jusqu’à l’impossible », sa voix vous a accompagnés au cours des trois dernières décennies. Cette semaine, notre partenaire JE SUIS MUSIQUE vous emmène en ballade avec la plus française des Australiennes, Tina Arena.
TINA ARENA Une australienne à Paris !
De passage à Paris en septembre dernier pour défendre son album « Love Saves », et en attendant de la retrouver Salle Pleyel le 16 novembre prochain pour un concert unique, la plus française des australiennes a accepté d’accorder à Je Suis Musique une séance photos exclusive dans cette ville qu’elle aime tant, et qui le lui rend si bien depuis plus de trois décennies. Plus resplendissante, sereine et épanouie que jamais, elle a pris la pose avec naturel et en toute simplicité, devant l’objectif toujours doux et bienveillant de l’hyper talentueuse photographe Delphine Ghosarossian, aux abords du quartier de Radio France, dans le 16ème arrondissement. « Tina in Paris », c’est une exclu JSM !
« Les gens ont du mal à me situer à cause de la diversité de mes choix artistiques et parce que je ne rentre dans aucune case : entre autres, parce qu’à la différence de beaucoup de chanteuses dites « à voix », je suis auteur-compositeur … j’ai créé moi-même mon univers. Je ne suis pas qu’une voix ou des hits connus du grand public. J’espère être beaucoup plus que cela… ».
« J’ai commencé ma carrière très jeune et je suis très lucide depuis très longtemps sur les choses et les gens de ce métier, mais je me sens tellement libre que je pense qu’on ne m’a jamais vue comme cela : tout simplement parce que je contrôle entièrement ma vie et ma carrière à présent ».
« L’important dans la vie, c’est d’être avec les siens, dans différents environnements, comme quand je suis avec mon fils qui va avoir 18 ans et qui étudie en France. Je veux qu’il construise sa propre identité, sa propre vie, sans subir les effets de mon métier ou de ce que je suis. Lorsque je suis loin de lui, c’est très difficile pour moi, mais je dois penser à lui et à son avenir avant tout ».
« Tellement de choses se sont passées depuis 10 ans. C’est la vie qui continue avec ses hauts et ses bas… ». Lire la suite
Propos recueillis par Eric Chemouny et Gregory Guyot pour JE SUIS MUSIQUE, le magazine digital de la musique élégante et populaire.
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Crédits photos sur le site JE SUIS MUSIQUE
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- 9 novembre 2023