[Culture] Patrick Bruel de A à Z dans JE SUIS MUSIQUE

De la place des Grands hommes au Café des délices en passant par ses reprises de Barbara… Du « Coup de Sirocco » à « l’Union sacrée » en passant par « K » et « le Prénom »… Qui ne s’est pas cassé la voix en hurlant Patriiiick… Un artiste complet, un acteur touchant, cette semaine, JE SUIS MUSIQUE vous emmène visiter l’alphabet de la vie de Patrick Bruel.

PATRICK BRUEL de A à Z

Il aura été un des artistes les plus actifs sur les réseaux sociaux, pendant cette période de confinement, pour garder le contact avec ses fans en leur offrant des titres live, en direct de son havre parisien… Alors que son album « Ce soir, on sort… » est toujours disponible en édition spéciale avec 8 nouveaux titres, dont 3 inédits, et qu’on attend sur les écrans son film « Villa Caprice » de Bernard Stora avec Niels Arestrup, nous avons dressé le portait de A à Z de l’acteur-chanteur, dont la tournée monumentale reprendra – on l’espère – en septembre prochain …

A comme Augusta

Sa maman qui l’élève seule, après que son père a quitté le foyer en 1960. Patrick est tout juste âgé d’un an. Enseignante, elle lui communique son goût pour la littérature et la chanson française.

B comme Barbara

Une de ses idoles de jeunesse, avec Brel, Gainsbourg et Reggiani. En 2015, il lui consacre un album de reprises (« Très souvent, je pense à vous ») et un spectacle d’abord joué à Mogador, puis donnant lieu à un Live au Châtelet, deux salles chères au cœur de la chanteuse disparue, mettant en perspective son propre parcours et l’influence de la longue dame brune sur sa vie personnelle et sa carrière.

C comme Cinéma

Il est un des rares artistes auteurs-compositeurs à mener de front une carrière de chanteur et d’acteur. C’est même au cinéma qu’il se distingue d’abord en 1978, dans « Le coup de Sirocco » d’Alexandre Arcady. Il y incarne Paulo Narboni, un jeune rapatrié d’Algérie. Il enchaine ensuite des rôles dramatiques («La maison assassinée », « Un secret », « Un sac de billes »…), mais aussi des comédies populaires («PROFS », «Tu veux ou tu veux pas », « Le meilleur reste à venir »…) , avec le même succès. Il obtient même un petit rôle dans le film américain «Sabrina » aux côtés de Harrison Ford.

D comme Dostoievki

En 1965, alors âgé de 6 ans, il éprouve son premier choc artistique et se passionne pour le théâtre après une représentation de « L’idiot »…

E comme « Entre-deux »

Contre toute attente, il réalise en 2002 un de ses plus grands succès discographiques en reprenant les chansons de l’entre-deux guerres, notamment « Mon amant de Saint-Jean », « Le temps des cerises », « La java bleue », « La complainte de la butte »… Il réunit pour l’occasion treize invités de renom, dont Johnny Hallyday, Renaud, Charles Aznavour, Zazie, Alain Souchon, Laurent Voulzy, Emmanuelle Béart, Francis Cabrel, Jean-Jacques Goldman et même la grande Danielle Darrieux. LIRE LA SUITE

Propos recueillis par Eric Chemouny et Gregory Guyot pour JE SUIS MUSIQUE, le magazine digital de la musique élégante et populaire.
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Crédits photos sur le site JE SUIS MUSIQUE

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