L’expatriation est un choix de vie professionnelle mais aussi familiale. Elle peut avoir des conséquences importantes sur la scolarité de vos enfants, quelque soit l’établissement scolaire fréquenté, lycée international français ou autre structure.
En classe de 3° et de 2de, vers quelle filière de Bac doit-on se diriger, en sachant qu’on ne trouve pas à l’étranger la même palette de choix qu’en France ?
En classe de 1ière et de terminale, comment avancer sur son choix d’études supérieures ? Avec les mêmes questions pour un jeune qui revient en France ou qui reste à l’étranger : pour quels métiers suis-je fait ? Comment y arriver ? Etudes courtes, études longues ? Dans un seul pays, ou dans plusieurs ?
Comment démarrer une scolarité sur de bonnes bases au début de l’expatriation, ou reprendre contact avec le système éducatif français au retour ?
De nombreux parents évoquent leurs difficultés pour trouver des interlocuteurs localement. Parfois, un professeur essaye bénévolement de donner des informations. Si la question est précise, du type «quelles études pour devenir avocat ?», la réponse est assez simple.
Mais en général, les questions ne sont jamais simples, car il faut faire éclore un véritable projet d’avenir, identifier ce qui motive votre enfant, bref l’amener à se projeter dans la vie professionnelle, qui est un monde totalement inconnu pour lui.
De plus, les parents ont quitté depuis longtemps le système scolaire qui a évolué depuis leur départ de France. Les enfants d’expatriés ont, par rapport aux enfants de métropole, une culture plus riche et diversifiée. Leurs parents sont d’autant plus exigeants sur la qualité de leur scolarité, ils veulent être sûrs que le choix qui sera fait sera le meilleur.
C’est pourquoi de nombreuses familles qui vivent à l’étranger souhaitent que leur enfant fasse le point avec une conseillère en orientation scolaire française spécialisée dans la prise en charge des expatriés. Comment se déroule cette assistance à distance ?
- Simplement par Skype, outil bien connu de tous, au moment qui arrange le jeune (sur un rythme hebdomadaire, chaque entretien durant environ 1 heure et ½, avec 4 entretiens pour les collégiens et 5 entretiens pour les lycéens + un rendez-vous « bilan » trois semaines après la fin du suivi),
- Selon une méthodologie validée auprès de centaines d’enfants de tous niveaux et adaptée aux échanges à distance (tests personnalité, créativité, MBTI, RIASEC),
- Avec des tests interfacés avec une base de données de 1000 métiers pour faciliter la découverte du monde professionnel, identifier les métiers les plus en adéquation avec le profil du jeune,
- Avec l’analyse des professions qui l’attirent grâce aux cartes d’exploration et au travail sur ses types de motivation,
- Avec des comptes rendus précis au jeune et ses parents après chaque rendez- vous sur les résultats des tests, les pistes à creuser, le travail à faire pour le rendez-vous suivant.
Cette méthode éprouvée allie tests et entretiens approfondis pour que le jeune puisse identifier ses valeurs fortes, ses centres d’intérêt, ses aspirations et ses ressources. Les métiers « faits » pour lui apparaîtront alors naturellement. Un suivi d’orientation peut être fait à partir de la classe de 3°. Toutes les études ont montré que nos centres d’intérêts étaient très stables tout au long de la vie. Ils se fixent à partir de 14/15 ans et varient peu ensuite. Très tôt dans la vie, telle personne aura plaisir à travailler en équipe, telle autre préfèrera travailler seule. L’une choisira un emploi pour rentrer tous les soirs chez elle, l’autre ne rêvera que de voyages.
Les suivis d’orientation permettent de se connaître sous un autre angle que l’angle scolaire : les jeunes savent nous dire « je suis bon en math, ou faible en chimie », mais c’est insuffisant pour identifier le métier ou la famille de métiers où ils vont s’épanouir.
Identifier ses motivations profondes facilite la prise de décision et renforce la motivation dans les études : on sait où on va, et selon quel chemin.
Enfin, cela peut également augmenter la variété des choix possibles. C’est souvent parce qu’on craint de ne pas réussir que l’on abandonne tel ou tel choix. Mieux connaître ses potentialités permet d’avoir une plus grande confiance en soi.
Lorsqu’on a fait un suivi d’orientation, on peut répondre à la question « Pour quoi suis-je fait ? ». Et cela donne une motivation incroyable pour poursuivre et réussir ses études, construire sa voie personnelle, aidé et soutenu par sa famille, avec le recul et l’expérience nécessaire d’une professionnelle de l’entreprise.
Vous résidez à l’étranger : quelle est l’UFE la plus proche de chez vous ?
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