Il existe 5 aéroports internationaux qui desservent les villes les plus importantes et les plus touristiques du pays. Mais le transport le plus utilisé est le bus, la société nationale SNTRI maillant bien le territoire. De petites compagnies locales complètent le réseau. Les prix sont plus abordables que ceux du train, qui compte un réseau ferré lui aussi relativement dense. Les omnibus, lents mais financièrement intéressants, comportent 3 classes en fonction du confort offert aux passagers, les autorails et les express sont confortables et rapides. Des forfaits permettent de circuler de façon illimitée durant 7, 15 ou 21 jours. Un peu plus rapides que les bus, les taxis collectifs sont des fourgonnettes à bande bleue qui relient les communes d’une même région, à bande rouge pour les longues distances et à bande jaune pour le local.
Conduire en Tunisie
Il est possible de conduire avec son permis national durant 1 an. Au-delà, il faut l’échanger contre un permis de conduire tunisien (auprès de l’Agence technique pour le transport terrestre). On peut circuler librement en Tunisie, à l’exception du Sud où il faut une autorisation. L’essence est beaucoup moins chère qu’en France, mais les pompes plus rares. Le nord du pays possède un réseau de bonne qualité, le sud possède encore des pistes non goudronnées. Les panneaux ne sont pas toujours traduits, la vitesse sur route est de 90 km/h, 110 sur autoroute et 50 en ville.
Le permis est plus facile à obtenir qu’en France (en 1 mois il est possible de passer les tests théoriques et pratiques) et bien moins cher (à partir de 200 €).
Consultez également notre rubrique « Mon permis de conduire à l’étranger« .
