Prendre les transports en Roumanie
Carpatair ou Tarom assurent des vols intérieurs et relient les principales villes du pays. Mais la population préfère de loin le transport ferroviaire qui maille l’ensemble du territoire, y compris les villes les plus excentrées. Il est géré par les Chemins de Fer roumains qui proposent des trains InterCity, ou IC, chers mais confortables, les trains InterRegional, IR, qui sont moins chers mais presque aussi rapides que les IC, et enfin, les trains Regional (R), moins chers, plus vieux, plus lents. Les trains Personal, véritables omnibus, s’arrêtent dans tous les villages. Les bus, souvent plus confortables que les trains, sont eux aussi très utilisés, et il est possible de se renseigner sur les différentes compagnies et horaires sur ce site : www.autogari.ro/?lang=fr.
Les transports en commun sont bien développés dans les grandes villes où l’on peut emprunter bus, tramway ou taxis. Bucarest possède aussi un métro.
Conduire en Roumanie
Il est possible de conduire avec son permis français durant 90 jours, au-delà il faudra l’échanger contre un permis roumain. Même si les routes ont été rénovées lors de l’entrée de la Roumanie dans l’Union Européenne, le réseau secondaire laisse encore largement à désirer. Le code de la route n’est pas vraiment respecté, la signalisation est défaillante, il faut donc être vigilant. La vitesse est limitée à 50 km/h en ville, 80 à 100 sur route et 130 sur autoroute. Petite différence avec la France, la Roumanie est plus tolérante en ce qui concerne l’alcool au volant puisqu’elle ne sanctionne les conducteurs qu’au-delà de 80 g/l.
