Habitudes alimentaires en République dominicaine
La cuisine est ici à l’image de ce qu’est la population : très métissée. On y mange des produits locaux comme la banane plantain, le riz, l’ananas, les haricots, le poulet, la chèvre, les langoustes… à la sauce créole, plus ou moins épicée. Le petit déjeuner est souvent un repas à part entière qui permet de tenir jusqu’au dîner du soir, le midi on se contente de grignoter dans la rue des préparations rapides comme les empanadas. Pour manger dehors, on peut se contenter des frituras, cuisines extérieures très simples, ou des Pica pollos (petites échoppes pour de la restauration rapide), ou s’asseoir dans des comedores, petites cantines qui proposent souvent un plat à base de riz et haricots, ou opter pour des paradas qui sont installées au bord des routes ; enfin, pour les bourses les plus garnies, on peut aller au restaurante, qui propose des mets plus élaborés mais plus chers. Pour moins de 15 €, on peut par exemple déguster une langouste en bord de mer.
Faire ses courses est aussi très facile quand on est dans une grande ville puisque l’on peut y trouver des supermarchés comme la chaîne Lindo (ici, on trouve tout, même Ikéa !), ou encore des marchés qui vendent des produits locaux à des prix très abordables.
Si vous mangez local, vous pouvez dépenser 100 pesos par jour (2 €), mais si vous choisissez des menus plus « occidentaux », il faudra plutôt compter 300 pesos par jour (6 €).