Quelle réalité pour les retraités ?
Les retraités français doivent apporter la preuve qu’elles disposent des ressources suffisantes pour vivre leur retraire au Mexique. Il leur sera demandé de fournir des extraits de comptes bancaires et des certificats de rente pour un certain nombre de mois. Il leur faudra prouver percevoir environ 2 000 €/mois, fournir une attestation originale de la banque s’engageant à effectuer des virements mensuels au Mexique pour un montant de 1 500 € et s’engager à ne pas travailler au Mexique. A l’arrivée au Mexique, elles devront se rendre dans les 30 jours qui suivent au Service de l’immigration pour faire une demande de Carte de résident permanent.
Si la vie est moins chère au Mexique qu’en France, c’est à la condition de vivre comme un « local ». Ainsi, se loger, en particulier dans un environnement sécurisé, coûte cher. La loi mexicaine interdit « en principe » à tous les étrangers d’acquérir un bien immobilier à moins de 30 km des frontières et des côtes.
En matière de soins, le Mexique n’est pas lié à la France par un accord de sécurité sociale. Il est recommandé de souscrire à une assurance maladie privée.
Pour plus de renseignements pour prendre sa retraite au Mexique, vous pouvez consulter la page suivante du ministère des Affaires étrangères : www.diplomatie.gouv.fr/fr/vivre-a-l-etranger/preparer-votre-depart-a-l-e…
Retraités : quels impôts au Mexique ?
Les pensions issues du secteur privé sont taxées au Mexique si vous devenez résident mexicain. Les barèmes sont plus intéressants pour les hauts revenus.
