La législation pour travailler au Koweït
Pour travailler au Koweït, il est important d’obtenir un contrat visé par le bureau de l’emploi local, en anglais et en arabe et d’en étudier les termes avec un avocat. La durée légale du travail est de 48 h par semaine, de 5 à 6 jours par semaine. Un contrat peut être écrit ou verbal, la période d’essai ne peut excéder 3 mois, les CDD ne peuvent dépasser 5 ans. Après un an dans une entreprise, un employé a droit à 14 jours de vacances. Après cinq ans de travail, l’employé a droit à 21 jours de vacances par an. Le salaire moyen d’un koweïtien est d’environ 1 000 dinars par mois, soit 3 740 $.
La citoyenneté est un privilège qui assure à ses détenteurs l’accès à des positions et à des avantages dont sont privés les étrangers, par exemple un recrutement à des échelons différents à compétence égale.
Quels secteurs sont porteurs d’emploi au Koweït ?
Les recruteurs se basent sur les diplômes, raison pour laquelle les jeunes diplômés étrangers les intéressent, et ce quels que soient les secteurs. Le pays est riche et a les moyens de répondre à ses besoins, que ce soit dans les secteurs des biens de consommation, d’équipement ou encore dans celui des infrastructures. Le pays ayant massivement investi dans la santé, il recrute du personnel médical. Le BTP est lui aussi un secteur porteur pour travailler au Koweït, avec notamment la construction d’une nouvelle cité universitaire et d’un métro, sans oublier celui de l’énergie, avec la construction de centrales électriques et d’usines de dessalement.
Les secteurs qui traditionnellement recrutent des cadres étrangers sont ceux de la finance, de l’ingénierie, et du commerce.
